vendredi 16 mars 2007

Samedi 24 février 2007: Brazza/Cotonou

L’avion devait partir à 15h30, il est bientôt 15h et il n’est toujours pas sur la piste d’aéroport. Heureusement, Juliette et François m’ont invitée à manger, à faire une petite sieste et à attendre le départ…
Finalement, après 1h30 d’attente à l’aéroport, après avoir joué des coudes pour ne pas trop se faire doubler, nous arrivons en salle d’attente.
Là, surprise ! Nouveaux sièges, service d’un petit encas pour patienter.

Le vol se passera sans problème. Quelques secousses, une descente difficile sur Cotonou mais arrivées saines et sauves !
Premier regard sur le pays : clean, aéroport ultra rapide.
Par contre, dans le hall d’accueil, ça change. Un homme nous propose un taxi, nous sommes d’accord mais une autre personne souhaite nous conduire ailleurs. En cinq secondes, nous faisons l’animation, il y aune dizaine de personnes autour de nous, tous se disent chauffeurs de taxi et se traitent de brigands. Finalement, une lumière nous vient, nous demandons au 1er chauffeur : « vous avez une voiture ?
- Non, une moto. »
Sur les conseils de Corinne (une collègue qui a vécu 3 ans à Cotonou) et avec nos gros sacs, nous allons avec le deuxième gars : pas de zem la nuit !
En effet, dehors, un petit écriteau lumineux nous indique : « pour votre sécurité, prenez les taxis ici. »
A 3000Frs la course, nous traversons la ville pour nous rendre à l’hôtel Crillon. Nous interrogeons parfois le chauffeur mais nous restons surtout silencieuse, les yeux ouverts sur la ville.
A l’hôtel, nous nous installons et nous arrivons à une première conclusion : à première vue, on peut avoir confiance, les gens que nous avons croisé avaient l’air honnête.
Nous soupons à l’acropole avant de nous coucher, exténuées.

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